Tout au long de l'exercice 2019-2020, l'AFGC a continué à s’exprimer sur plusieurs questions nationales afin de créer un climat plus propice aux affaires pour ses membres. Notre équipe est fière du travail de premier plan qui a été accompli au cours de la dernière année en votre nom à vous, nos membres. Vous trouverez ci-dessous un aperçu de ce que nous avons réalisé.
L’ÉLECTION FÉDÉRALE
Notre équipe a travaillé fort pendant six mois pour faire connaître lors de l’élection fédérale 2019 la position du génie-conseil auprès des principaux partis et aux centaines de candidats aux élections.
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Ainsi, nous avons élaboré un plan électoral exhaustif, Mettre l’infrastructure sur la bonne voie, énonçant clairement deux grandes priorités en cette période électorale.
La seconde priorité concernait le corridor national d’infrastructures. Qu’est-ce qu’un corridor national d’infrastructures? Il s’agit d’une série d’emprises préétablies reliant toutes les régions du Canada. Imaginez que, d’un bout à l’autre du pays, une zone géographique désignée ait déjà fait l’objet des évaluations environnementales réglementaires et soit prête à accueillir toute une gamme d’infrastructures (réseaux ferroviaires, télécommunications, pipelines, etc.). Un tel corridor permettrait aux promoteurs de lancer des projets de grande envergure en toute confiance. Ce corridor réglerait des préoccupations d’ordre social et environnemental, favoriserait le progrès et la croissance économique, et stimulerait le développement durable des ressources.
Pour que les candidats ne perdent pas de vue nos priorités, nous avons créé un site Web, investirinfrastructure.ca, sur lequel nous avons mis en évidence nos priorités électorales et nos recommandations. Nous y avons publié une analyse du programme électoral des principaux partis réalisée sous l’angle des promesses en matière d’infrastructures. À partir de ce site, les internautes pouvaient transmettre un message électronique aux candidats dans leurs circonscriptions afin de les exhorter à appuyer les investissements en infrastructure.
Nous avons également lancé une campagne dans les médias sociaux pour communiquer ces messages aux parties prenantes. Sur Twitter, LinkedIn, et Instagram, nous avons fait la promotion de nos priorités électorales, publié des messages à partager et tenu nos abonnés au courant des annonces faites par les différents partis pendant toute la durée de la campagne électorale.
La période préélectorale s’est avérée aussi importante que l’élection elle-même. Pour cette raison, la tactique de notre plan électoral, Mettre l’infrastructure sur la bonne voie, a été peaufinée bien avant l’émission du bref électoral, en septembre 2019. Nous voulions surtout veiller à ce que les comités responsables des programmes électoraux et les candidats des principaux partis connaissent la position de notre industrie avant le déclenchement des élections. En mai 2019, nous avons transmis nos messages clés et nos demandes stratégiques aux comités des principaux partis. Les chefs de parti ont également reçu un questionnaire à remplir. Les questions portaient sur les investissements en infrastructure et l’appui du parti au secteur des ressources naturelles. En juin, nous avons rencontré de hauts fonctionnaires et des députés, y compris le ministre de l’Infrastructure et des Collectivités, afin de transmettre nos messages directement aux élus avant l’ajournement des travaux de la Chambre pour l’été. Au cours de l’été et pendant la campagne électorale, nous avons lancé une vaste campagne épistolaire et nous avons publié sur le site investirinfrastructure.ca nos analyses des différents programmes électoraux ainsi que les réponses des chefs de parti au questionnaire de l'AFGC.
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Après les élections, l'AFGC a transformé son plan électoral en une stratégie postélectorale pour s’assurer que ses messages clés continuent d'être entendus par les députés réélus et nouvellement élus. En février, l'AFGC a organisé un petit déjeuner de travail avec les députés, afin de continuer à sensibiliser les élus à la nécessité d'investir dans des projets d'infrastructure et d’édification de la nation. L’AFGC a été soutenue par la Fédération canadienne des municipalités, l'Association canadienne de la construction, le Conseil canadien pour les partenariats public-privé et la Coalition de Premières Nations pour les grands projets, qui ont tous participé au panel animé par le président et directeur général de l'AFGC, John Gamble.
PROMOUVOIR UN DÉVELOPPEMENT RESPONSABLE DES RESSOURCES.
En 2019, nous avons continué à nous prononcer au nom de nos membres et clients du secteur des ressources naturelles. En avril 2019, John Gamble, président et chef de la direction de l’AFGC, et Christy Cunningham, directrice générale de l'AFIC-NB, ont témoigné devant le Comité sénatorial permanent de l’énergie, de l’environnement et des ressources naturelles au sujet du projet de loi C-69 (Loi sur l’évaluation d’impact).
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Mme Cunningham et M. Gamble ont tous les deux félicité le gouvernement d’avoir entrepris un examen du système réglementaire car, selon eux, pour attirer des investisseurs privés sur le marché canadien, il faut absolument améliorer le processus de consultation, la transparence et la clarté du processus d’évaluation environnementale. Ils ont aussi évoqué les inquiétudes de notre industrie quant au manque de clarté de la première version du projet de loi C-69. Ils ont ajouté que ce projet de loi pourrait ajouter au fardeau réglementaire et freiner l’investissement dans des projets au Canada. L’AFGC et l'AFIC-NB ont formulé une série de recommandations visant à mettre en place un processus d’évaluation rigoureux, efficace et transparent. Elles ont par exemple suggéré d’éclaircir certains points dans la loi elle-même plutôt que d’attendre le règlement pour le faire. Le Sénat a proposé près de 200 amendements favorables à l’industrie au projet de loi, y compris une limitation de la capacité des politiciens à prendre des décisions finales sur les examens de projet et un resserrement des délais pour le processus d’examen. Le projet de loi a été adopté avec 62 des amendements proposés par le Sénat tandis que 37 ont été modifiés par le Cabinet avant d'être soumis à un vote de la Chambre. Bien que l'AFGC soit favorable à une réglementation saine, nous continuons de craindre que le manque de clarté concernant la portée et le calendrier soit problématique. Pour cette raison, nous encouragerons le gouvernement au cours des prochains mois à organiser des ateliers avec les intervenants de l'industrie afin que des règlements puissent être élaborés qui définissent clairement chacun des « facteurs d’impact » proposés dans le projet de loi et fournissent des orientations claires aux promoteurs sur la façon d'aborder chaque facteur.
En décembre, l’AFGC était l’une des quatre associations nationales invitées à participer à une table ronde avec des membres du Cabinet de l'Alberta pour discuter du renforcement de l’économie albertaine et de la recherche d’un équilibre entre les considérations économiques et environnementales. Les ministres et le premier ministre Kenney étaient à Ottawa pour échanger avec le gouvernement fédéral et des intervenants nationaux. Les discussions ont notamment porté sur l’amélioration des relations fédérales-provinciales et interprovinciales, sur la transparence réglementaire et sur la nécessité de rallier des appuis autour du projet de corridor national d’infrastructures. En collaboration avec Consulting Engineers of Alberta, l’AFGC a dirigé des discussions sur les avantages de créer un corridor national, c’est-à-dire un réseau d’emprises désignées et approuvées à l’avance qui seraient réservées à de grands projets d’édification de la nation. Pour créer un tel corridor, il faudrait procéder à de vastes consultations et aménager le territoire visé selon des principes judicieux. Ce corridor permettrait d’éliminer les nombreuses évaluations associées aux grands projets d’édification de la nation. Les gouvernements pourraient examiner les projets, en consultation avec les Premières Nations et les parties intéressées. Le corridor pourrait accueillir plusieurs infrastructures, ce qui laisserait une empreinte géographique et environnementale moindre et aurait moins d’effets sur l’aménagement des terres environnantes. Grâce au corridor d’infrastructure, il serait possible de relier plus facilement les collectivités du Nord et les collectivités éloignées à des infrastructures essentielles sur le plan de l’économie et de l’amélioration de la qualité de vie. Cette solution serait plus viable sur le plan économique et environnemental.
L'AFGC avait organisé une table ronde sur le corridor national d'infrastructures qui devait avoir lieu à la fin du mois de mars et qui aurait réuni les organisations concernées – notamment, la Chambre de commerce du Canada, la Fédération canadienne des municipalités, l'Association canadienne des producteurs pétroliers, la Coalition de Premières Nations pour les grands projets – afin d'examiner les moyens de faire avancer cette idée de construction d'une nation et d'amplifier notre voix. Cette activité a été remise à une date indéterminée en raison de la crise de la COVID-19.
Cette année, l’AFGC a poursuivi son travail de promotion de la sélection basée sur les compétences (SBC) auprès de clients du secteur public et privé pour leur signifier que cette méthode est la plus adaptée à la sélection et l’acquisition de services-conseils. Pour appuyer ces efforts, nous contribuons financièrement à une étude sur la SBC réalisée par l’Université de l’Alberta, qui vise à recueillir des données importantes et à quantifier les avantages de cette méthode de sélection. Dans la foulée des pressions exercées par l’AFGC et ses partenaires pour faire avancer la SBC, Services publics et Approvisionnement Canada (autrefois TPSGC) a lancé un projet pilote afin de tester cette méthode. Jusqu’à présent, quatre appels de propositions d’envergure ont été lancés et les soumissions seront examinées selon la SBC.
En mars, une délégation de l’AFGC dirigée par Lawrence Lukey, président du conseil, était au nombre des 200 représentants de l’industrie et des Premières Nations rassemblés à Prince George, en Colombie-Britannique, pour participer à des présentations et des tables rondes explorant comment la collaboration entre les Premières Nations et l’industrie peut déboucher sur le développement plus responsable et plus efficace de grands projets. Il a notamment été question de la participation financière des Premières Nations, du financement de projets, de l’intendance environnementale et des normes d’évaluation des projets de grande envergure. M. Lukey était accompagné de John Gamble, président et chef de la direction, de Martine Proulx, vice-présidente, ainsi que de la chef de la direction de l’ACEC-BC, Caroline Andrewes. Outre l’AFGC, notre secteur était également représenté par Morrison Hershfield et RAM Engineering. D’autres secteurs étaient représentés, notamment le pétrole et le gaz, les institutions bancaires et organismes de financement de projets, la construction, le génie et l’énergie renouvelable.
L’événement était organisé par la Coalition de grands projets des Premières Nations (FNMPC). Cette coalition, qui regroupe plusieurs Premières Nations, vise à examiner comment les membres peuvent s’approprier les grands projets d’exploitation des ressources réalisés sur leurs terres et améliorer les pratiques environnementales afin de répondre aux besoins des communautés autochtones. Au cours de la seconde journée, la présidente de la Coalition de Premières Nations pour les grands projets, la chef Sharleen Gale, a présenté des recommandations destinées au gouvernement du Canada en vue de créer un nouveau cadre de partage des avantages des grands projets réalisés sur des territoires autochtones. Lors de cette annonce, la chef Gale était accompagnée de Corrina Leween, chef de la Nation des Carrier de Cheslatta; de John Gamble, président et chef de la direction de l’Association des firmes de génie-conseil – Canada, et de Mark Romoff, président et chef de la direction du Conseil canadien pour les partenariats public-privé.
Les Prix canadiens du génie-conseil, présentés en collaboration avec le magazine Canadian Consulting Engineer, sont le point culminant des efforts déployés par l'AFGC pour mettre en valeur l’industrie. Ces prix sont reconnus comme la plus haute distinction accordée par l’industrie à des firmes ayant réalisé des exploits techniques parmi les plus remarquables. Cette année, vingt projets ont été récompensés d’un Prix d'excellence dans diverses catégories. Sur ce nombre, cinq ont également reçu un Prix spécial, y compris le prestigieux Prix Schreyer.
Après la remise des prix, les lauréats ont été mis en vedette dans le cadre de la campagne primée #20Joursdelexcellence, qui consiste à publier un projet primé par jour dans les médias sociaux pendant tout le mois de novembre.
Le Prix Beaubien, qui reconnaît les contributions remarquables d’individus à l’AFGC et à l’avancement du génie-conseil, a été décerné à François Plourde, P.Eng., président et chef de la direction de CIMA+ et ancien administrateur du conseil de l’AFGC.
L’AFGC supervise également l’octroi de la prestigieuse Bourse Allen D. Williams à un jeune professionnel travaillant au sein d’une firme membre. Cette bourse est octroyée chaque année à une personne qui a fait preuve d’engagement envers l’industrie du génie-conseil au sein de sa province ou de son territoire. Cette année, le lauréat est Nicholas Kaminski, P.Eng., M.Eng., PMP, de chez KGS Group.
RECONNAISSANCE DE NOTRE CAMPAGNE #20JOURSDEXCELLENCE
En 2019, la campagne #20Joursdelexcellence de l’AFGC a été primée à deux différentes occasions. Lors du congrès annuel et du gala de remise des prix de la Fédération internationale des ingénieurs-conseils (FIDIC), notre équipe a reçu le prix décerné à une association membre s’étant le mieux distinguée dans « l’avancement d’une cause, une campagne de sensibilisation ou une activité de communication ». La Société canadienne des directeurs d'associations (SCDA) a également remis un Prix d’excellence à l’équipe des communications dans la catégorie « Valeur ajoutée pour les membres ou parties intéressées ».
Le partenariat de l’AFGC avec la Fédération canadienne des étudiants et étudiantes en génie (FCEEG) est l’occasion pour l’Association d’initier des étudiants en génie au génie-conseil et de promouvoir ce dernier comme une profession valorisante ayant un effet important sur la société. En 2019, dans le cadre de notre programme de sensibilisation des étudiants, nous avons prononcé des allocutions, participé à des tables rondes, des salons de l’emploi et à d’autres événements de réseautage de la FCEEG.
La seconde édition du forum des cadres de l’AFGC a réuni des chefs de file du secteur canadien du génie-conseil. Ils ont discuté des tendances, des stratégies, des pratiques exemplaires émergentes et des nouvelles façons d’appréhender les grands enjeux qui se présentent à nous, à titre d’organisations et de secteur. Plus de 30 cadres supérieurs de firmes membres de l’AFGC ont participé au forum pour faire le point sur le secteur du génie-conseil et parler ouvertement de son avenir.
Le congrès national du leadership de l'AFGC qui a eu lieu en octobre, est la seule occasion pour les membres de partout au pays de se réunir et de prendre le pouls de l’industrie pour en connaître les tendances, les défis et les débouchés et pour réseauter avec des pairs et des décideurs nationaux. Le programme d’affaires comprenait une liste impressionnante de ministres, experts, chefs de file éclairés et pontifes des médias, qui ont tous pris la parole et échangé avec les délégués sur une vaste gamme de questions brûlantes.
Pour appuyer le perfectionnement des étoiles montantes de notre industrie, cet automne, l’AFGC a lancé une nouvelle activité de perfectionnement professionnel : le premier Forum des jeunes professionnels, qui a eu lieu les 26 et 27 octobre. Le Forum a permis aux participants de perfectionner leurs talents et de réseauter au moyen d’activités ciblant spécifiquement les jeunes professionnels du secteur du génie-conseil. Le programme, concocté par le personnel de l’AFGC et les membres du Réseau des jeunes professionnels de l’AFGC, a mis les participants au défi d’exercer leur sens critique et d’appliquer leur créativité et leurs aptitudes en communication à une série d’activités.
Notre stratégie de communication, qui vise à asseoir la présence de notre association et à mobiliser les membres, les parties prenantes, le gouvernement et les étudiants en génie a été mise en œuvre par divers moyens. Les abonnés à notre bulletin, Source, continuent de croître, tout comme nos publications dans les médias sociaux, notamment grâce à la création d’une page LinkedIn. En mars, nous avons également lancé le nouveau site Web de l'AFGC, dont l'apparence a été rafraîchie et qui offre une navigation plus conviviale et des capacités vidéo améliorées.
Nous avons aussi profité d’événements organisés par des associations provinciales et territoriales pour donner à notre conseil d’administration l’occasion d’échanger directement avec des firmes membres, des intervenants régionaux et des représentants de gouvernements provinciaux et municipaux. John Gamble et le président du conseil d’administration de l’AFGC ont parcouru le pays pour participer à une série d’événements dans plusieurs provinces afin de mieux comprendre les défis régionaux qui se posent à nos firmes membres. Nous sommes fiers de travailler étroitement avec les associations provinciales et territoriales pour offrir des produits et des services à nos membres et nous souhaitons longue vie à ces partenariats.
COMMUNICATIONS ET MESURES PRISES PENDANT LA PANDÉMIE DE COVID-19
L'AFGC a mis en place plusieurs mesures pour soutenir ses membres pendant la pandémie. En mars, le site Web de l’AFGC affichait une section exclusivement consacrée à la COVID-19. L’industrie canadienne du génie-conseil peut y retrouver des ressources et des renseignements utiles pendant cette crise. Cette section www.acec.ca/covid19 comprend aussi des mises à jour sur les mesures prises par l’AFGC pour aider l’industrie à traverser la crise et à amorcer une relance, ainsi que des communications et messages distribués aux membres.
L’AFGC a présenté au gouvernement fédéral des recommandations visant à permettre au secteur du génie-conseil de conserver ses capacités et son expertise. De la sorte, ce dernier pourra contribuer à l’atténuation des effets de la crise causée par la COVID-19, et participer à la reprise qui suivra. Outre son travail de représentation auprès du gouvernement fédéral, l'AFGC offre également de l’information et des ressources pour aider ses firmes membres à gérer leur entreprise pendant cette crise. Dès la mi-mars, l’AFGC était en contact direct avec de hauts fonctionnaires et bon nombre de ses partenaires afin de discuter des politiques susceptibles d’aider les entreprises à protéger leurs employés, des moyens d’assurer la survie immédiate et à long terme des entreprises et de la manière de stabiliser et reconstruire l’économie après cette crise. L’AFGC a d’abord rappelé au gouvernement fédéral que la planification, la conception, la construction et l’exploitation d’infrastructures de premier plan étaient au nombre des services essentiels partout au pays. Elle a ensuite formulé les recommandations suivantes : maintenir, voire accélérer les projets, les plans et les engagements actuels en infrastructures. Ces points sont au nombre des différentes questions que nous avons soulevées dans notre lettre au premier ministre et à plusieurs des ministres de son cabinet.
Pendant des échanges avec les dirigeants d’Infrastructure Canada, John Gamble, président et chef de la direction de l’AFGC, a insisté sur l’importance des infrastructures en général – et du secteur du génie-conseil en particulier – pour favoriser la résilience du Canada et l’aider à se relever de cette crise économique. Il a rappelé au gouvernement que s’il désirait stimuler l’économie au moyen des infrastructures, il devait tenir compte du fait qu’avant le début des travaux, les firmes doivent travailler sur la conception d’un projet pendant six mois à deux ans. M. Gamble a également souligné que notre industrie a la capacité de travailler à distance pour assurer la santé et la sécurité des employés et respecter les mesures de distanciation sociale mises en place par le gouvernement.
Outre ses activités de communication, l’AFGC a aussi travaillé en étroite collaboration avec la Chambre de commerce du Canada et plus de 100 autres associations d’affaires partout au pays (membres du Canadian Business Reliance Network) afin de déterminer les étapes à suivre pour protéger et appuyer les entreprises pendant cette crise. Aux côtés de ces organisations, l’AFGC a participé à la préparation d’un énoncé conjoint destiné aux gouvernements canadiens. Cet énoncé vise à soutenir les efforts déployés à l’échelle nationale pour protéger les emplois, y compris l’accès au crédit et la Subvention salariale d’urgence du Canada (SSUC).
Au cours des prochains mois et des prochaines semaines, l’AFGC poursuivra sa collaboration avec ses partenaires et avec le gouvernement et les élus pour que la contribution de l’industrie du génie-conseil à la reprise soit reconnue et mise à profit. Nous allons également redoubler d’efforts pour veiller à ce que nos firmes membres et notre industrie aient le soutien financier voulu pour survivre à court et à long terme.